Memphis, la première capitale de l'Égypte, fondée vers 3100 av. J.-C. par le pharaon Narmer, témoigne de l'extraordinaire histoire des centres de pouvoir de cette civilisation millénaire.
Cette ville monumentale, située à environ 19 kilomètres au sud du Caire moderne, était notamment considérée comme la plus peuplée du monde jusqu'en 2250 av. J.-C.
En effet, connue comme la "Balance des Deux Terres" pendant le Moyen Empire, Memphis a conservé son statut de capitale depuis l'unification jusqu'à la Première Période Intermédiaire vers 2040 av. J.-C.
Cependant, le pouvoir s'est ensuite déplacé vers Thèbes, puis vers Alexandrie en 331 av. J.-C., marquant ainsi les grandes transitions politiques de l'histoire égyptienne.
Cette évolution des capitales reflète non seulement les changements dynastiques, mais aussi les transformations profondes qu'a connues l'Égypte au fil des millénaires.
L'histoire de l'Égypte antique est marquée par une succession de capitales qui reflètent les changements de pouvoir et l'évolution de cette grande civilisation. Bien avant la gloire d'Alexandrie et la grandeur du Caire, trois villes majeures ont joué un rôle déterminant dans la fondation de l'État égyptien. [ Le Caire en 5 jours ]
Contrairement à certaines croyances populaires, les recherches archéologiques modernes suggèrent que Memphis s'est affirmée comme un centre politique majeur dès la Ire dynastie pharaonique (vers 3150-2850 av. J.-C.).
Cette ville, située sur la rive occidentale du Nil, bénéficiait d'une position stratégique exceptionnelle à la jonction du delta et de la vallée, ce qui lui valut plus tard le surnom de "Balance des deux terres".
Selon la tradition, Memphis fut fondée par le légendaire Ménès, premier souverain ayant unifié l'Égypte. Il lui donna initialement le nom de "Mur-Blanc", avant qu'elle ne prenne le nom de "Men nefer" sous la VIe dynastie, d'après le village consacré à l'entretien de la pyramide de Pépi Ier.
Memphis s'imposa comme capitale officielle de l'Ancien Empire égyptien d'environ 2780 à 2280 av. J.-C.. Au-delà de son rôle administratif, elle constituait également:
Pendant longtemps, Thinis, située près d'Abydos en Moyenne-Égypte, fut considérée comme la première capitale de la monarchie égyptienne.
Cette croyance s'appuyait sur les écrits de Manéthon, historien égyptien du IIIe siècle av. J.-C., qui qualifiait les deux premières dynasties de "thinites".
Cependant, après un siècle de fouilles archéologiques, cette théorie a été largement remise en question. Si des tombes liées aux premiers pharaons ont effectivement été découvertes dans la nécropole abydénienne d'Umm el-Qaab, aucun palais ni agglomération d'importance n'a été repéré dans les environs.
Aujourd'hui, la plupart des égyptologues situent Thinis sur la rive droite du Nil, à environ 20 km au nord d'Abydos, près de la ville de Girga.
Il apparaît désormais que Thinis servait principalement de nécropole royale, tandis que Memphis constituait le véritable centre du pouvoir pharaonique dès les débuts de l'État égyptien.
À la fin de l'Ancien Empire, vers 2280 av. J.-C., le pouvoir central s'affaiblit considérablement. Cette période troublée, connue sous le nom de Première Période Intermédiaire, vit l'émergence d'Héracléopolis Magna comme nouvelle capitale.
Située en Moyenne-Égypte et capitale du vingtième nome de Haute-Égypte, Héracléopolis profita de la faiblesse des dynasties memphites. Khéty, nomarque (gouverneur) d'Héracléopolis, parvint à s'imposer aux autres dirigeants locaux et fonda la IXe dynastie vers 2160 av. J.-C..
Les IXe et Xe dynasties héracléopolitaines contrôlèrent principalement le nord du pays pendant environ 120 ans. Durant cette période, Héracléopolis se heurta à la puissance croissante de Thèbes au sud, dirigée par la XIe dynastie.
Malgré l'appui des nomarques d'Assiout, les souverains héracléopolitains furent définitivement vaincus par le roi Mentouhotep Ier vers 2065 av. J.-C., qui réunifia l'Égypte et fit de Thèbes la nouvelle capitale.
Cette période de transition, marquée par des luttes de pouvoir, ouvrit la voie à l'émergence de nouvelles capitales qui façonneraient l'histoire de l'Égypte pour les millénaires à venir.
La réunification de l'Égypte après la Première Période intermédiaire marque un tournant décisif dans l'histoire des capitales égyptiennes. Cette nouvelle ère, connue sous le nom de Moyen Empire, voit l'émergence de centres urbains qui témoignent de la puissance retrouvée des pharaons et de leur volonté d'affirmer leur autorité sur l'ensemble du territoire.
Thèbes, nommée Ouaset par les anciens Égyptiens ("La Puissante"), s'impose comme la première capitale du Moyen Empire suite à la victoire des princes locaux. Située sur la rive orientale du Nil, elle était auparavant une obscure capitale provinciale avant de prendre une importance nationale à partir de la XIe dynastie.
Montouhotep II, véritable fondateur du Moyen Empire, choisit de maintenir sa capitale à Thèbes après avoir vaincu les Héracléopolitains et réunifié l'Égypte. Sous son règne, il entreprend de consolider son pouvoir sur tout le territoire, un processus achevé lors de sa 39e année de règne.
Pour cette raison, Montouhotep II est considéré, tant par les égyptologues modernes que par les anciens Égyptiens eux-mêmes, comme le fondateur du Moyen Empire.
Durant cette période, Thèbes se développe considérablement :
Parallèlement, Thèbes s'affirme comme un centre religieux majeur, avec l'ascension du dieu local Amon dont l'importance ne cesse de croître. Les plus anciens vestiges d'un temple dédié à cette divinité datent du règne de Sésostris Ier.
Néanmoins, un changement majeur intervient avec l'avènement de la XIIe dynastie. Amenemhat Ier, qui fonde cette nouvelle lignée royale vers 1991 av. J.-C., décide de déplacer le centre du pouvoir beaucoup plus au nord.
Il fait construire une nouvelle cité royale appelée "Amenemhat-itj-tawy", signifiant littéralement "Amenemhat (celui qui) s'empare des Deux Terres". Cette fondation intervient probablement durant sa vingtième année de règne, bien que la première mention connue de la ville date de la trentième année de son règne.
Plusieurs raisons stratégiques expliquent ce déplacement de capitale:
Fait intéressant, le site exact d'Itj-Tawy demeure inconnu à ce jour. Cependant, d'après l'égyptologue Steven Snape, le déterminatif hiéroglyphique utilisé pour la ville suggère qu'il s'agissait d'une "capitale désenchâssée", un petit centre comprenant des bâtiments administratifs et une résidence royale, habité uniquement par le personnel administratif.
Les centres économiques et culturels majeurs seraient restés des villes préexistantes comme Memphis et Thèbes.
La plupart des chercheurs s'accordent à penser qu'Itj-Tawy devait se trouver à proximité de sa nécropole, située près du village moderne d'el-Licht, où deux pharaons ont fait édifier leur sépulture.
Itj-Tawy conserve son statut de capitale durant toute la XIIe dynastie et pendant une bonne partie de la XIIIe dynastie, au moins jusqu'au règne de Merneferre Ay. C'est uniquement avec l'invasion du nord de l'Égypte par des populations cananéennes que les pharaons abandonnent finalement Itj-Tawy pour se replier vers Thèbes, au sud.
Le Nouvel Empire égyptien (1550-1070 av. J.-C.) représente une période d'expansion territoriale et de prospérité sans précédent. Pendant cette ère glorieuse, quatre centres majeurs se sont succédé comme sièges du pouvoir, chacun reflétant les ambitions et les transformations politico-religieuses de son temps. [ Trésors d'Égypte, du Caire à Assouan ]
Après l'expulsion des Hyksôs, Thèbes connaît un essor extraordinaire en tant que résidence du dieu dynastique Amon-Rê. La cité devient l'« Héliopolis du Sud », entièrement vouée au culte divin.
Sur la rive Est s'étendent les demeures des vivants autour des voies processionnelles reliant Karnak et Louxor, parcourues par les barques sacrées lors des grandes festivités. Sur la rive Ouest, la « rive des morts », s'établissent les hypogées royaux et leurs temples funéraires.
Cependant, dès la XIXe dynastie, un déséquilibre grandissant apparaît entre le pouvoir royal et les ambitions du clergé d'Amon, préfigurant les troubles futurs.
En rupture totale avec la tradition, Akhenaton fonde en l'an 9 de son règne (vers 1353 av. J.-C.) une capitale entièrement nouvelle en Moyenne-Égypte. Nommée Akhetaton (« horizon d'Aton »), cette cité construite sur un site vierge matérialise sa révolution religieuse.
En quelques années seulement, une ville entière de 20 000 à 30 000 habitants surgit du désert. Son architecture révolutionnaire comporte des temples à ciel ouvert permettant aux rayons du dieu-soleil de pénétrer librement. Après la mort du pharaon et le retour à l'orthodoxie amonnienne, Akhetaton est abandonnée puis systématiquement démantelée.
Sous le règne de Séthi Ier puis de Ramsès II, le centre de gravité du pays se déplace vers le nord pour des raisons stratégiques. Pi-Ramsès (« Maison de Ramsès »), construite dans le delta oriental près de l'ancienne Avaris, devient la nouvelle capitale.
Cette métropole impressionnante s'étend sur 15 km² et abrite plus de 300 000 personnes. Véritable porte d'entrée du pays, elle combine palais somptueux, installations militaires, temples imposants et manufactures d'armes, facilitant les interventions rapides en Palestine et Syrie.
L'ensablement progressif des ports de Pi-Ramsès conduit à son abandon et au transfert de la capitale vers Tanis (Djanet). Cette nouvelle cité, située dans le nord-est de l'Égypte, est littéralement construite avec les monuments démontés de Pi-Ramsès.
Les travaux archéologiques ont révélé que Tanis avait été conçue comme une « Thèbes du Nord », reproduisant la capitale méridionale dans le Delta. Elle abrite la nécropole royale des XXIe et XXIIe dynasties, découverte intacte par Pierre Montet en 1939, marquant un changement significatif dans les pratiques funéraires royales.
En 331 avant notre ère, l'histoire des capitales égyptiennes connaît un tournant décisif avec la conquête du pays par Alexandre le Grand. Cette période marque un changement fondamental dans l'organisation politique et culturelle de l'Égypte.
Alexandre fonde Alexandrie dans une position stratégique exceptionnelle, sur un cordon littoral séparant la Méditerranée du lac Mariout (ancien lac Maréotis). La ville devient rapidement la dernière capitale de l'Égypte antique pendant trois siècles.
Après la mort d'Alexandre en 323 av. J.-C., Ptolémée, l'un de ses généraux, s'empare de l'Égypte et fait d'Alexandrie sa capitale en 305 av. J.-C..
Sous les Ptolémées, Alexandrie remplace Memphis comme capitale et s'impose comme le centre intellectuel du monde antique. La ville connaît une croissance extraordinaire pour devenir à l'époque romaine une énorme métropole cosmopolite dépassant peut-être 500 000 habitants. Elle abrite des monuments prestigieux comme:
Après la mort de Cléopâtre VII en 30 av. J.-C., l'Égypte passe sous domination romaine et perd son indépendance. Néanmoins, Alexandrie conserve son statut de capitale administrative sous les Romains, le préfet portant initialement le titre de "préfet d'Alexandrie et d'Égypte".
L'urbanisme alexandrin tranche radicalement avec la tradition égyptienne. La ville est conçue selon un plan orthogonal inspiré des principes d'Hippodamos de Milet. Deux grandes artères d'une largeur extraordinaire structurent l'espace: la plateia d'est en ouest et la voie reliant le port lacustre aux quartiers royaux.
Par ailleurs, les habitations du quartier du Brouchion, sur les pentes de la colline du théâtre, présentent des plans typiquement grecs, avec des pièces organisées autour d'une cour centrale. L'enceinte de la ville, tracée selon la légende par Alexandre lui-même avec de la farine, englobe une superficie estimée à environ 12 km².
En effet, le modèle grec s'étend au-delà d'Alexandrie. Dans les territoires dominés par les Lagides, de nouvelles cités grecques sont fondées pour servir de relais à l'influence royale. Cependant, pour s'assurer la loyauté du peuple, les Ptolémées soutiennent également les traditions égyptiennes, construisant de nouveaux temples dans le style traditionnel.
La conquête arabe de l'Égypte en 641 marque une nouvelle ère dans l'histoire des capitales égyptiennes. Après des siècles de domination grecque puis romaine, le centre du pouvoir se déplace vers des villes nouvelles, reflétant l'émergence d'une civilisation islamique.
Dès la prise de l'Égypte par les Arabes, le général Amr Ibn al-As fonde Fustat sur l'emplacement d'une ancienne forteresse byzantine appelée Babylone. Cette ville-camp fortifiée (misr) devient le premier centre administratif et religieux de l'Égypte musulmane et abrite la première mosquée du pays et d'Afrique.
Sous les dynasties omeyyades (661-750) et abbassides (750-1050), Fustat se développe considérablement, atteignant son apogée au XIIe siècle avec environ 200 000 habitants.
Néanmoins, son destin bascule en 1168 lorsque le vizir Shawar ordonne son incendie pour empêcher les croisés de s'emparer de ses richesses. Les vestiges de cette cité sont alors intégrés au Caire voisin et transformés en simple décharge par les mamelouks entre le XIIIe et le XVe siècle.
En 969, le général sicilien Jawhar al-Siqili conquiert l'Égypte pour le compte des Fatimides et fonde al-Qâhira ("la Victorieuse"), une cité-forteresse au nord de Fustat. La construction des murailles dure quatre ans, suivie par l'édification de la mosquée Al-Azhar, l'une des plus anciennes universités au monde.
Pendant trois siècles (642-969), Fustat demeure le centre administratif tandis qu'al-Qâhira devient le siège du gouvernement, abritant la cour, l'armée et les ministères. Fustat conserve toutefois son importance comme centre économique et commercial.
Sous Saladin (1171-1193), le centre du pouvoir se déplace. Il fait construire une importante citadelle sur les hauteurs entre Fustat et al-Qâhira, qui restera le siège du gouvernement jusqu'au XIXe siècle. Une muraille défensive de 14 kilomètres est également érigée, englobant l'ensemble des deux villes.
Pendant la période mamelouke, Le Caire connaît un développement spectaculaire. Devenue la plus grande ville à l'ouest de la Chine, sa population atteint environ 500 000 habitants vers 1340. L'aristocratie militaire mamelouke transforme profondément le paysage urbain :
Après la conquête ottomane en 1517, Le Caire perd son statut de capitale impériale mais reste néanmoins la capitale de l'Égypte, province désormais gouvernée depuis Istanbul.
Au XXIe siècle, l'Égypte fait face à d'immenses défis urbains avec ses deux principales métropoles qui concentrent une grande partie de sa population et de son activité économique.
Le Caire, avec ses 20 millions d'habitants, représente le cœur battant de l'Égypte moderne. Cette mégapole souffre d'une congestion extrême, ses infrastructures peinant à suivre l'expansion démographique et économique.
Face à cette situation, le président Al-Sissi a lancé en 2015 un projet ambitieux : la construction d'une nouvelle capitale administrative à environ 45 kilomètres à l'est.
Cette nouvelle cité, actuellement en construction, s'étend sur 750 km² et vise à désengorger Le Caire tout en créant un centre administratif moderne. Les ministères, le parlement et le palais présidentiel y sont progressivement transférés. Cependant, certains observateurs craignent que ces logements restent inabordables pour la classe moyenne égyptienne.
Alexandrie, avec environ 5 millions d'habitants, demeure la seconde ville du pays et son principal accès maritime. Capitale maritime de l'Égypte, elle a connu une expansion importante à l'époque moderne et reste une des premières villes de commerce méditerranéennes.
Sa personnalité est marquée par une dialectique permanente entre son appartenance à l'Égypte et son caractère méditerranéen. Les Alexandrins considèrent souvent que "mieux vaut passer l'hiver au Caire et l'été à Alexandrie", témoignant des différences climatiques entre les deux métropoles.
L'Égypte gagne environ 1,8 million d'habitants chaque année, ce qui exerce une pression considérable sur les infrastructures urbaines. Dans certaines zones du Caire, la densité dépasse 20 000 habitants par kilomètre carré.
Les défis sont multiples :
Face à ces enjeux, l'Égypte multiplie les projets urbains ambitieux. Outre la nouvelle capitale, le gouvernement développe un réseau de transport moderne reliant Le Caire au delta du Nil et à la côte méditerranéenne, et investit massivement dans le dessalement d'eau de mer pour sécuriser les ressources hydriques.
Néanmoins, la question demeure : ces nouvelles infrastructures permettront-elles de résoudre durablement les problèmes d'urbanisation d'un pays dont la population pourrait atteindre 120 millions d'habitants d'ici 2030 ?
Q1. Quelles ont été les principales capitales de l'Égypte antique ?
Les principales capitales de l'Égypte antique ont été Memphis, Thèbes, Akhetaton, Pi-Ramsès et Alexandrie.
Chacune a joué un rôle important à différentes périodes de l'histoire égyptienne, reflétant les changements politiques et religieux du pays.
Q2. Pourquoi Le Caire est-il devenu la capitale de l'Égypte moderne ?
Le Caire est devenu la capitale de l'Égypte moderne en raison de son importance historique et de sa position stratégique.
Fondée au Xe siècle, la ville s'est développée pour devenir le centre politique, économique et culturel du pays, abritant les institutions gouvernementales et concentrant une grande partie de la population égyptienne.
Q3. Quelle est la nouvelle capitale administrative de l'Égypte et pourquoi est-elle construite ?
Une nouvelle capitale administrative est en construction à environ 45 km à l'est du Caire. Ce projet ambitieux vise à désengorger Le Caire, à moderniser l'administration du pays et à créer un nouveau centre urbain capable d'accueillir la croissance démographique de l'Égypte.
Q4. Quel rôle joue Alexandrie dans l'Égypte contemporaine ?
Alexandrie reste la deuxième ville d'Égypte et son principal port maritime.
Elle joue un rôle crucial dans le commerce méditerranéen et conserve une importance culturelle et économique significative, bien qu'elle ne soit plus la capitale administrative du pays.
Q5. Quels sont les principaux défis urbains auxquels font face les grandes villes égyptiennes aujourd'hui ?
Les grandes villes égyptiennes, en particulier Le Caire et Alexandrie, font face à de nombreux défis urbains, notamment la surpopulation, la congestion du trafic, l'urbanisation informelle, le stress hydrique et la pression sur les infrastructures.
Ces problèmes sont exacerbés par la croissance démographique rapide du pays.
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